29 janvier 2015, 11h44, l’heure du départ a sonné. Je vole à mes proches un dernier bisou sur le quai de la gare de Saint-Malo, et hop me voilà partie. Dans un peu plus de 24 heures, je serai à Bogota. Je passerai pendant ce long trajet par tous les états émotionnels possibles et imaginables : excitation, inquiétude, questionnements.
Tout est prêt : mon équipement, mes papiers, mes vaccins, mon arrivée à Bogota… Et pourtant, je ne peux m’empêcher de tourbillonner.
Dans un élan de lucidité, je me fais la réflexion suivante :
Il n’y a rien de moins naturel que de quitter sa région et ses proches, et en même temps, il n’y a rien de plus excitant que de partir seule à la rencontre des hommes et d’ouvrir ses yeux sur le monde.
Il y a un peu plus d’un mois, je me sentais incapable de me lancer dans un tel projet. Aujourd’hui, je suis fière d’en être arrivée jusque-là, plus motivée que jamais pour mener à bien et partager ce projet World COP 21, et tout aussi curieuse que vous d’en découvrir son déroulement…!
Hasta luego Francia,
Buenos Dias Bogota !
Tout est prêt : mon équipement, mes papiers, mes vaccins, mon arrivée à Bogota… Et pourtant, je ne peux m’empêcher de tourbillonner.
Dans un élan de lucidité, je me fais la réflexion suivante :
Il n’y a rien de moins naturel que de quitter sa région et ses proches, et en même temps, il n’y a rien de plus excitant que de partir seule à la rencontre des hommes et d’ouvrir ses yeux sur le monde.
Il y a un peu plus d’un mois, je me sentais incapable de me lancer dans un tel projet. Aujourd’hui, je suis fière d’en être arrivée jusque-là, plus motivée que jamais pour mener à bien et partager ce projet World COP 21, et tout aussi curieuse que vous d’en découvrir son déroulement…!
Hasta luego Francia,
Buenos Dias Bogota !